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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 18:38

 

Capture d’écran 2013-02-20 à 09.33.15

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 16:02

L’animatrice de télévision américaine Oprah Winfrey a expliqué sur un réseau social de partage de photos que la friteuse sans huile Actifry, fabriquée en Bourgogne, avait « changé sa vie ». 

 

La nouvelle ambassadrice d’un produit typiquement « made in France » est américaine. Il s’agit de la star de télévision Oprah Winfrey qui vient de vanter les mérites de la friteuse sans huile du groupe Seb, sur son compte Twitter. « Cette machine… T-Fal Actifry a changé ma vie », a souligné la vedette des talk-shows, en s’affichant vendredi 15 février sur une photo avec cet appareil. « Et ils ne m’ont pas payée pour le dire », a-t-elle assuré.

 

Dans un autre tweet, la présentatrice indique qu’elle a réalisé tout un plat de frites avec une cuillerée d’huile. « Délicieux avec mon burger végétarien », ajoute-t-elle.

 

Un joli coup de pouce pour l’usine de Is-sur-Tille

Cette friteuse, fabriquée à Is-sur-Tille, près de Dijon, a été commercialisée aux Etats-Unis à la toute fin 2011. Il s’agit d’un « joli coup de pouce » et « d’une opportunité fantastique », alors que les ventes américaines d’Actifry sont encore un « peu timides », a affirmé Jean-Pierre Lac, le directeur général adjoint de Seb, interrogé sur BFM Business, mardi 19 février. Selon lui, « le nombre de clics sur Google pour demander ce qu’était Actifry a été multiplié par 10 durant les deux derniers jours » et « plus d’un million de tweets se sont échangés sur le produit aux États-Unis ».

 

Ce n’est pas la première fois qu’un produit de la marque est saluée par une personnalité américaine. Chez Seb, on rappelle par exemple que dans les années 1960, Jackie Kennedy avait vanté une poêle Tefal, et qu’un million d’exemplaires s’en étaient vendus par la suite.

Le titre Seb a gagné 3,98 %

 

Les marchés financiers ont en tout cas apprécié les propos d’Oprah Winfrey. À la Bourse de Paris, le titre Seb a gagné 3,98 % mardi 19 février, terminant à 62,38 €, soit son plus haut de l’année. Une bonne nouvelle, alors que le groupe a annoncé un tassement de ses ventes en 2012, à 4,09 milliards d’euros, en raison de la mauvaise conjoncture en Europe qui représente encore un gros tiers de l’activité. Dans les pays matures, les ventes ont reculé de 2 % et de 2,4 % en France.

Face à la concurrence des pays à bas coûts, les dirigeants de Seb sont persuadés que le seul moyen de s’en sortir, se trouve par le haut, grâce à l’innovation. Bref, le modèle allemand en quelque sorte. Le groupe travaille avec un millier de chercheurs et chaque année, 200 à 250 appareils nouveaux sont ainsi lancés, sur la base d’une centaine de brevets. Résultat, aujourd’hui, 60 % du chiffre d’affaires provient de produits qui n’existaient pas il y a encore trois ans.

 

Depuis son lancement fin 2006 « l’Actifry » est ainsi un des best-sellers du groupe. L’appareil est devenu très vite numéro un dans la vingtaine de pays où il a été lancé, malgré un prix de vente élevé (autour de 200 €). Trois millions d’exemplaires ont déjà été vendus. L’Actifry, c’est aussi ce qui sauvé le site bourguignon, qui fabriquait jusqu’alors des friteuses classiques.

 

Un pari osé mais réussi, tant sur le plan technologique que marketing, notamment sur la capacité des consommateurs à payer le produit quatre à cinq fois plus cher que celui proposé par les concurrents.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 23:11

Les médias français prennent plaisir à encenser le Québec, mais la réalité est parfois bien plus cruelle : loin de l’image des exilés fiscaux de la City, les Français arrivés au Québec sont trop souvent des victimes précarisées de l’immense succès migratoire dont ils sont venus grossir les rangs.

 

 

Entre les permis “Vacances-Travail”, “Temporaire”, “Étudiant”, “Jeune professionnel” et la "Résidence Permanente", les administrations provinciales et canadiennes font face à des flots de candidatures si nombreux qu'ils ont un impact ravageur sur les modalités et surtout sur les délais d’obtention.

 

 

Difficultés financières, impossibilité de travailler, absence de visas... 

 

 

Pour ne parler que de la "Résidence Permanente" (appelée "RP"), elle est de loin le moyen le plus sûr de rester sur le sol canadien au long terme. Il y a dix ans, les plus chanceux pouvaient l’obtenir depuis la France en moins d’un an (on a mis 11 mois pour l'obtenir). Mais, entre temps, les conditions ont été assouplies pour pouvoir y postuler tout en étant sur le territoire. Résultat : aujourd’hui, certains déjà installés au Canada attendent déjà depuis plus de deux ans !

 

 

1. Lucie :

 

Elle est en congés sans solde, forcés donc, faute d’avoir le droit de travailler. Elle estime en être à 13.600 Dollars canadiens entre ses dépenses et le manque à gagner en huit mois. Son stress rejaillit sur ses parents, qui l’aident tant qu’ils le peuvent. Elle vit par ailleurs très mal l'éloignement du milieu professionnel dans lequel elle s'épanouissait et qui la mettait en contact avec des jeunes depuis plus de trois ans.

 

 

2. Alexandre :

 

Il en est à 20 mois d’attente, alors qu'il a étudié 3 ans sur place, et travaillé aussi pendant 3 ans. Son permis post-diplôme a expiré. Aidé financièrement par ses parents et sa conjointe, il vient tout juste de recouvrer son droit de travailler grâce à l'un des très convoités permis "Jeune professionnel". En incluant les économies englouties, il estime le préjudice financier subit à environ 7.500 dollars canadiens.

 

 

3. Karim :

 

Il connaît bien le Québec puisqu’il y a fait plusieurs aller et retours depuis 2005 grâce à ses études. Sa demande de résidence permanente date néanmoins du mois d'août 2011. Dix-huit mois plus tard, il est toujours en attente et les autorités n’ont pas autorisé sa femme, qui vit en Colombie, à le rejoindre, par suspicion envers son statut actuel dépendant d’un permis de travail fermé (lié à un employeur). Le couple ne s’est pas vu depuis dix mois. Côté chiffres, il évalue l’incidence sur ses comptes à hauteur d’environ 7.800 dollars canadiens, notamment pour l’aide qu’il doit apporter à sa femme.

 

 

Mais ce traitement n'est pas réservé qu'aux Français, d’autres candidats, venus d’ailleurs, doivent aussi se débattre :

 

 

1. Liam :

 

Il est à la fois irlandais et sud-africain. Il vit à Montréal depuis la fin de l'année 2009 et il attend, avec sa femme, des nouvelles de leur dossier depuis plus de 18 mois. Il se dit frustré de n’avoir accès à aucun suivi de son dossier. Bloqué dans ses projets de vie, il a dû piocher dans ses économies et n’a pas pu se rendre à deux funérailles familiales. Il évalue l’impact financier entre pertes et manque à gagner à environ 15.000 dollars canadiens, en incluant notamment une période de quatre mois de chômage forcé à la fin de l'année 2012. Il était en effet coincé entre le passage d’un permis de travail fermé à un permis ouvert l’autorisant à travailler pour n’importe quel employeur.

 

 

2. Inès :

 

Elle est tunisienne. Avec son mari, ils attendent leur "RP" depuis 26 mois. Leurs permis de travail respectifs ont expiré récemment alors qu'ils avaient dû les renouveler par deux fois, moyennant 3.000 dollars canadiens. Désormais privée de couverture médicale, Inès doit accoucher en février avec des coûts hospitaliers pouvant atteindre 10.000 dollars canadiens. Leur premier enfant âgé d’un an et demi n’est pas couvert non plus, bien qu’il soit canadien car né sur le territoire.

 
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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 23:07

Touchés de plein fouet par le chômage, les jeunes Français sont de plus en plus nombreux à vouloir s'établir au Québec, rare pays qui ne connaît pas la crise, mais la Belle Province n'offre qu'un visa de 18 mois maximum que seuls 30 % arrivent à prolonger. Le Canada, qui propose chaque année 14 000 visas aux Français âgés de 18 à 35 ans, voit les demandes exploser pour le Québec. Mi-février, l'Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ), qui fait le lien entre Paris et le Québec, avait déjà accordé plus 10 000 permis de travail provisoire.


Si les étudiants sont toujours nombreux à se porter candidats pour poursuivre leurs études outre-Atlantique, les demandeurs d'emploi sont venus grossir les rangs ces quatre dernières années, dans l'espoir de trouver là-bas ce qu'ils n'arrivent pas à trouver ici. Le Québec les accueille toutes branches confondues. Les jeunes titulaires d'un bac + 2, bac + 3 ou même apprentis sont les bienvenus.


Un taux de chômage de 7 %


Il faut dire que l'économie canadienne se porte plutôt bien : un taux de chômage de 7 % en janvier, dont 13,5 % de jeunes, selon les chiffres de Statistique Canada, contre 10 % en France, dont près de 25 % chez les jeunes. De surcroît, les jeunes Français sont appréciés par les Québécois. Question de langue, mais pas seulement. "Les Québécois considèrent que les Français sont bien formés par rapport aux ressortissants des autres pays", explique Frédéric Lefret, secrétaire général de l'OFQJ. Il estime qu'en moins d'un mois un Français peut trouver "un boulot intéressant".

 


Certains partent avec une convention de stage, d'autres à l'aventure pour un y chercher un job d'été. Mais, "si on accepte de commencer avec un petit salaire, tout est possible", ajoute Frédéric Lefret. Après un an au chômage, des centaines de CV envoyés sans succès, Mathieu, 28 ans, a décidé de tenter l'aventure : "Je suis allé plusieurs fois au Québec. Non seulement on y parle français, mais, en plus, il y a de l'emploi partout. Un café sur deux cherche un serveur."


Payé par Pôle emploi


Sur une dizaine de demandes envoyées outre-Atlantique, ce diplômé en communication et en immobilier a décroché six mois de stage dans une entreprise de communication : "Sur le papier, ça a l'air fabuleux. Après, je verrai sur place !" Mathieu ne sera pas payé par l'entreprise, mais par Pôle emploi. Un accord officialisé en 2012 entre Pôle emploi et l'OFQJ permet en effet aux jeunes demandeurs d'emploi (jusqu'à 35 ans) de partir faire un stage au Québec sans perdre leurs indemnités chômage en France.

 


Clara Sanberro, 22 ans, bac + 2 en communication, est allée un mois sur place en repérage. Elle y retourne l'été prochain pour un CDD de deux mois dans le journalisme : "Si je devais rester en France, je reprendrais mes études. Bac + 2, ça ne vaut rien, ici. Au Québec, le fait que j'ai un diplôme français, c'est déjà ça." La jeune femme espère évidemment faire son trou plus longtemps là-bas. Mais rien de sûr. Au-delà du visa temporaire, seuls 30 % des jeunes parviennent à rester plus longtemps.


110 000 Français


Au Québec, la communauté française comprend 110 000 personnes sur un total de 250 000 immigrés parmi les 8 millions d'habitants. "Naturellement, je serais plutôt allée vers l'Espagne, dit Virginie Manus, 27 ans, qui part pour un an. "Je n'ai jamais mis les pieds au Québec, mais c'est là où se trouvent les opportunités." Au chômage depuis un an, elle a cherché en vain dans le secteur de la communication culturelle : "Trouver un boulot en France, regrette-t-elle, sans piston, c'est juste impossible."


Si, comme la grande majorité de jeunes partis, ne serait-ce qu'un an, au Québec, Virginie Manus revient en France, elle aura au moins enrichi son CV d'une expérience de "mobilité internationale". Un atout supplémentaire dans sa recherche d'un emploi stable.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 23:05

Le Québec a fait beaucoup parlé de lui ces dernières semaines dans la presse française et belge.



En effet, en passant par les articles de L'Express, l'AFP, Le Point, la Libre Belgique, le Nouvel Obs, ainsi que les radios françaises France Inter, France Culture, Europe 1, France Info, le Québec était au coeur des reportages afin de parler de son marché du travail, des études supérieures, etc.



Pourquoi le Québec fait rêver les Français ? - Le Point, source AFP, 16février 2013, repris dans Le Devoir le 18 février.



« Emploi : la tentation du Canada » Europe1, 5 février 2013



L’herbe est plus verte au Canada, Libre Belgique, 14 février 2013



Cap sur Montréal à France Culture, reportages radio dimanche 17 & 24 fév. 2013



Le Québec, nouvel eldorado des jeunes Français en recherche d'emploi,

France Inter, Interview, 12 fév. 2013



Ces Belges en quête d’un autre rêve américain : le Canada, Libre Belgique, 9 février 2013



Autisme : s’exiler au Quebec, pour donner une chance à son enfant…Blog de L'Express, 8 fév. 2013



Etudes supérieures : la tentation québécoise, France Info, interview, 7 février 2013



L'eldorado québécois : à l'ombre des gratte-ciels, ces Français qui galèrent, 29 janvier 2013, Blog Nouvel Obs

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 19:05

Quelque 150 anglophones ont manifesté à Montréal (les chiffres font peur), hier, pour exprimer leur mécontentement à l'égard du projet de loi 14 du gouvernement péquiste actuel qui vise à renforcer la Charte de la langue française. Cela pourrait toucher, entre autres, le statut de certaines villes bilingues.


 
Selon un sondage, 76 %  des anglophones ne font pas confiance au Parti québécois (gouvernement actuel), et 42 % disent songer à quitter la province à cause du PQ. Le ministre trouve que c'est 42 % de trop, mais rappelle qu'ils étaient plus de 80 % à vouloir le faire en 1995. 

 

Les anglophones de Montréal sont une minorité au Québec mais une majorité au Canada et en Amrique du Nord. Ça doit être la minorité linguistique la plus choyée du Québec !

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 01:19

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Le conseiller municipal indépendant Jeremy Searle a lancé un concours afin de déterminer où se trouvent, sur l'île de Montréal, les plus beaux nids-de-poule.



Il invite les citoyens à lui faire parvenir des photos de nids-de-poule qui se distinguent par leurs qualités esthétiques et leur taille. La nature des prix demeure à déterminer, mais M. Searle songe à offrir aux gagnants un repas dans une rôtisserie, une copie du film Poulets en fuite ou un livre de recettes pour apprêter la volaille.

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 01:12

Le gouvernement québécois de Pauline Marois compte bientôt mettre en application de nouvelles règles afin de valoriser davantage les candidats ayant une connaissance plus approfondie du français lors de la sélection des travailleurs qualifiés (immigrants indépendants).



Voici quelques modifications suggérées afin de faire ses changements :



Désormais le niveau « intermédiaire avancé » deviendra le seuil minimal pour obtenir des points. Mais attention, ces points ne seront pas éliminatoires. Il faut savoir que la nouvelle pondération s’appliquera aux requérants principaux et aux conjoints qui sont en majorité des femmes.


Le niveau de connaissance du français sera accru chez les candidats de la catégorie des travailleurs qualifiés sélectionnés selon la grille québécoise. De plus, la proportion des personnes immigrantes connaissant le français à leur arrivée au Québec sera augmentée.


Le ministère compte aussi faire d'autres modifications par rapport aux domaines de formation qui devront mieux coller à la réalité du marché du travail québécois.

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 00:22

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 16:48

  Le petit Joseph est né ce 10 Février 2013 à l'Hôpital Sacré Coeur de Montréal. Il a eu un sacré coeur ce petit, surtout après une trés mauvaise réaction au produit déclenchant les contractions. Les infirmières et surtout l'équipe "pouponnière" de l'hôpital ont été fantastiques. Professionnalisme, empathie, suivi et "formation" en continue des nouveaux parents qui débutent. Aprés 4 jours à l'hôpital (de l'accouchement à notre sortie) nous revoilà à la maison. Pour une césarienne, c'est 4 jours à l'hôpital (au Québec) et pour un acocuchement naturel, c'est 2 jours.

 

Prochaine étape: Aller au consulat de France de Montréal pour déclarer sa naissance afin qu'il est la nationalité française puis aller à la direction d'état civil afin de déclarer sa naissance afin qu,il est la nationalité canadienne.

 

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